Si petite, presque écrasée par le poids des
responsabilités.
Et pourtant si grande et si forte.
Courageuse aussi…
Elle veut pousser, grandir encore, jusqu’à s’élever.
Que plus rien ne l’atteigne.
Cesser de souffrir, car elle aura anéanti la
souffrance.
Elle l’aura brisée, émiettée.
Si petite souffrance,
Dans sa main devenue si grande…
Et son cœur, grand lui aussi,
Saura tarir ses larmes pour donner place à l’espoir.
Si petite, et pourtant si grande.
Si faible, et pourtant si forte…
Elle a cessé d’avoir peur
Et de marcher comme un fantôme.
Elle a levé la tête et elle l’a regardé :
C’est à lui d’avoir peur maintenant.
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