Écouter l’écho de la souffrance, trouver l’enfant
qui pleure, l’enfant à l’intérieur…
Lui dire
« Si tu pleures, je pleure avec toi,
Si tu souffres, je souffre avec toi. »
Mais lui dire aussi :
« Si je guéris, tu guéris avec moi.
La route, nous la faisons ensemble, toi et
moi.
Ce corps que tu portes comme un fardeau, je
veux me l’approprier
Ce corps blessé que tu détestes, je vais le
soigner, je vais l’aimer pour deux.
Et peut-être qu’un jour, tu l’aimeras aussi. »
Aucun commentaire:
Enregistrer un commentaire